Episode #67 ​- ​ On peut vivre sans se faire embrasser tant

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Episode #67 ​- ​ On peut vivre sans se faire embrasser tant

Post by Gocchisama »

Voici l’épisode 67 de Podcast48, second du cycle cycle avec Ethan Piett en invité. Il sera d’ailleurs très actif dans cet épisode puisqu’il est quasiment exclusivement centré sur les « 46 » (Nogi & Keyaki). Cet épisode est donc pour vous, tous ceux qui ont réclamé plus de 46 dans Podcast48, Profitez en :p

Nous avons également bien entendu vos remarques sur le traitement des photobooks (j’en parle notamment dans l’intro du 70) mais malheureusement il y en a encore 1 dans celui-ci… et le suivant ^^ *Gomen*

Image

Au sommaire de ce soixante-septième podcast :

RELEASE
– Hadashi de Summer (Nogizaka46 , 15ème Single)
– Sekai ni wa Aishikanai (Keyakizaka46 , 2nd Single)
– 1 Jikan Okure no I love you (Nogizaka46, 2nd Photobook)

HORROR
– Tokuyama Daigoro wo Dare ga Koroshita ka ? (Keyakizaka46, Drama)
– AKB Horror Night Adrenalin no Yoru (AKB48, Drama)

Enjoy ^_^

http://www.podcast48.com/podcast/episod ... anger.html
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Re: Episode #67 ​- ​ On peut vivre sans se faire embrasser t

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J'ai oublié de partager mes notes :

Sekai ni wa ai shikanai (10/08/16)
Misaki de par son côté seigneur m’octroie allègrement 30 min au lieu de 20 pour le deuxième single des Keyakizaka46, et bien je ne vais pas me gêner car oui, ce nouvel opus du sister group des Nogizaka est d’une extrême richesse. Si vous êtes insensible aux belles paroles ou à l’argumentation stérile, pas de problème laissez moi vous énumerez de simples chiffres : Sur 397 handshake slots disponible pour ce single, 332 sont sold out (84% de remplissage), Silent Majority prime au FNS natsu music matsuri devant les poids lourd Heavy rotation ou Koi suru fortune cookie avec plus d’1 million de votes, et un total de 323 066 exemplaires sur la semaine, soit 30% d’augmentation par rapport à l’excellent Silent Majority. Qu’on aime ou l’on aime pas, on ne peut dénier l’élan que vit les Keyaki.


Encore une fois Hirate Yurina reprend du service en tant que center, avec cependant un front remanié avec Watanabe Risa et Shida Manaka à la place de Kobayashi Yui et Suzumoto Miyu. Un grand succès appelle forcément une grande attente, et les fans sont curieux de savoir si les Keyaki vont confirmer ou si c’était la chance du débutant. C’est ce qu’on va voir tout de suite avec leur A side, Sekai ni wa ai shikanai.


Sekai ni wa ai shikanai (il n’y a que de l’amour dans ce monde) : On dit des grands artistes qu’ils sont capable de créer des titres originaux tout en gardant leur patte/style charactéristique. On n’y est peut etre pas encore mais on se rapproche. Sekai ni wa ai shikanai se veut résolument différent du côté sombre de Silent Majority, avec un ton beaucoup plus enjoué et ample ( le dialogue en “prose” y est pour beaucoup). Le rythme y est aussi beaucoup plus long, comme des vagues. Le refrain très entrainant se marie très bien avec l’ensemble de la mélodie, mais le titre se démarque vraiment par son instrumentale, la guitare sèche de l’intro et les envolées du piano donnant une vrai identité à la chanson. On comprend alors la parenté car cette même guitare a accompagné Silent majority (c’est aussi le même compositeur)


Au niveau du PV, on apprécie la réflexion apportée pour bien coller à la chanson. Hirate Yurina à beau être center et être en premier plan, on sent que la vidéo s’accentue beaucoup plus sur des plans de groupe ( chorégraphie des parapluies, filmage en plein air très dispersé). Ce qui me marque dans la chorégraphie c’est les grand gestes ( danse des vague de la première ligne, grand mouvement de cercle/de moulinage en plein air). Petite anecdote, les uniformes bleu foncés laissent place à des uniformes d’un blanc éclatant Décidément rien n’est laissé au hasard.


Kataru nara mirai wo (Si tu parles, parle du futur) : Un vrai bijou de chorégraphie. Si on écoute la chanson sans le MV, on peut la juger correcte sans tomber dans le génial, sauf que le PV compense plus que largement, voir même le propulse directement comme candidat à une A-side. Les membres (le senbatsu) se subliment dans une danse très complexe, dont l’esthétique et le côté épuré leur procure définitivement le statut de groupe cool, chère à la famille 46 en opposition au mignon, chère à la famille du 48. La luminosité, le slow motion (juste ce qu’il faut) la permutation entre plan de groupe et close up donne une dynamique unique au PV. D’ailleurs si le choix du senbatsu n’était pas si evident pour la A-side, elle est complètement justifié sur cette chanson où Shida manaka et Watanabe Risa crèvent l’écran. Et ne me lancez pas sur Hirate Yurina, les mots ne se suffisent pas pour décrire son aura de center. Vous n’avez qu’a voir le PV par vous même.


Shibuya kara PARCO ga kieta hi ( le jour où le PARCO avait disparu de Shibuya) : J’aime les chansons avec une certaine profondeur, une idée derrière la tête. La chanson peut paraitre un peu répetitive (parco parco parco), Le PV minimaliste avec la petite scène, et confus entre le switch costard et seifuku (uniforme japonais). Mais tout prend un sens quand on lis les paroles. C’est l’histoire d’une jeune fille normale qui ne supporte plus sa vie banale de collégienne remplie de code ainsi que le comportement fallacieux des adultes. Le PARCO, building de vêtement à la mode dont elle croise le chemin tous les jours est un symbole. Symbole d’un endroit qui lui fait rêver le jour ou elle pourra s’affranchir de cette illusion se tenir sur scène avec de beaux habits de paillettes. Il en découle la dualité Yurina en uniforme (vie réelle) et Yurina qui rêve d’être elle même ( costard rouge). Hirate Yurina, son regard, sa gestuelle, tout est executé à la perfection. On se demande si c’est un rôle ou c’est bien elle qui est décrit dans le PV. En tout cas, cela rend le personnage plus que fascinant.


Mata atte kudasai ( rencontrez moi une nouvelle fois s’il vous plait) : Le premier solo de Neru est à son image, léger et mignon. En soi, Neru est le capital “kawaii” des Keyakizaka46, et dans un groupe qui se revendique cool, c’est un très gros avantage, surtout que les orthodox idols resteront toujours appréciées quoi qu’il arrive. On sait que le vocal n’est pas le fort de Neru mais le ton léger donne un caractère apaisant et rafraichissant à la chanson. Neru est une membre populaire est fait office de center de la seconde gen. On associe les orthodox idol à la timidité et la reserve, mais Neru peut se montrer entreprenante et saisisseuse d’opportunité. Affaire à suivre


Aozora ga chigau et Hiragana Keyaki : représente respectivement une “unit” de membre populaire et la seconde génération des keyaki, du même nom. Les deux chansons se laisse écouter mais sans plus. Elle ne se démarque pas et le fait de ne pas avoir de PV n’aide pas. J’ai tendance à dire qu’elle me font penser à ce que fait le 48group ces temps ci. Chanson d’idol standard.


Bob dylan wa kaesanai ( Bob dylan ne reviendra pas) : Yuichanzu, le capital “musical” des Keyakizaka, et à juste titre. L’une chante merveilleusement bien, l’autre sait jouer plus de 5 instruments. On ressent une certaine mélancolique au titre, grandement aidé par la maitrise vocale des deux. Elle peuvent se permettre de chanter une mélodie difficile. La chanson tire son épingle du jeu avec l’harmonie de leur voix, une principale et une soutien. Un fait très rare dans le monde des idols. Autant l’instrumentale était à l’honneur, cette fois ci les voix sont l’attraction principale.




Bonus PV individuel : Même style que les Nogizaka46, chaque membres bénéficie d’une petite vidéo dont elle sont les productrices principales. C’est la parfaite opportunité de se faire remarquer. Certaines l’utilise merveilleusement bien, comme Nagahama Neru et sa methode complètement barrée de se rappeler les verbes irreguliers en anglais, ou bien Shida manaka qui invite des pratiquants d’art martiaux pour une démonstration de leur savoir faire. Si on ne souhaite pas se faire remarquer, on peut toujours se faire connaitre, comme Imaizumi Yui qui démontre sa capacité d’aller dans les aigues ou Sugai Yuuka qui nous présente les spécialités locales. La palme revient encore à Hirate Yurina qui décidément est une individualité comme on en a jamais vu; tel une oeuvre d’art plus on la contemple plus elle révèle de nouvelle facettes. Cette fille a vraiment 15 ans???


Conclusion : Parlons Keyaki de manière globale. Comment les Keyaki sont construitent, font leur promotion; on ressent l’ambition d’Aki-p de créer un groupe qui puisse plaire à un large public avec une image cool et des messages forts. Il n’a jamais caché qu’il vise “meilleur rookie de l’année” pour fin 2016. La différence, c’est qu’elle me réconcilie avec les idols d’un point de vue musical. Des chansons qui excellent en concert, des ballade, des solo qui donne une identité au groupe. Durant une période d’actualité que je considère maigre, elles ont sû se départager


Sekai ni wa ai shikanai est donc un single extrêmement solide qui permet au Keyaki de se construire une image qui reste dans la tête des fans. Il est fort probable que lorsque les membres prendront plus confiance durant les variety show et s’auront affirmer leur caractère, la popularité du groupe continuera d’augmenter.
HKT48 Hako-Oshi
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