[4th SINGLE NGT48] Sekai no Hito e

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[4th SINGLE NGT48] Sekai no Hito e

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MON AVIS SUR : NGT48 - Sekai no Hito e (Tartinette Edition)

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Les pochettes ne sont pas extraordinaires. Je ne dirais pas non plus qu’elles sont moches, mais ça ne me fait pas trop rêver. C’est assez « gris-blanc-vert ». Le logo et le titre en russe n’ont rien de « sexy ». C’est assez tristounet. La disposition en cercle de l’édition régular me semble l’une des plus sympas.


LA FACE A : SEKAI NO HITO E

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(vers 6’20, on frôle quand même le double coup de boule…)

Les clips NGT48, en particulier les Faces A, sont très scénarisées. Ici on se retrouve avec un clip de plus de 9 minutes pour une chanson qui en fait à peine 3’30. Toutefois, je trouve que jusqu’ici, la mise en scène est plus intéressante que les dernières mises en scènes des AKB48 qui ne se justifient pas forcément toujours et rallongent inutilement un clip (et donc bouffe du budget inutilement qui pourrait servir utilement dans un autre). Ici, on peu penser que puisqu’il y a eu voyage, c’était l’occasion de rentabiliser le déplacement de rajouter quelques scènes. Car oui, ouiiiiiiiiii, nous quittons l’industrielle Niigata pour la Russie.

Alors pourquoi la Russie ? On peut s’en étonner car La Russie et le Japon sont techniquement toujours en guerre depuis 1945 et le Japon a toujours des revendications autour des îles Kouriles. Apparemment, malgré ce constat, tourner un clip d’idols c’est OK. Mais, ça n’explique pas pourquoi précisément la Russie. J’ai réfléchi et je vous dis tout !

Pour changer un peu d’air (pollué), le staff NGT, avide d’exotisme, a pris une carte des voisins proches du Japon : La Corée du Sud vient d’accueillir Produce48, la Corée du nord « c’est non », la Chine après l’embrouille SNH48 et la politique chinoise du moment, c’est pas trop la hype, Indonésie, Thaïlande, il y a déjà les JKT et les BNK et ça commence a faire loin... Il restait donc la Russie. Le projet a été validé très rapidement car si les NMB pouvaient avoir un roux dans leurs clips, les NGT auraient leur blonde. C’est comme cela que les NGT se sont retrouvées a Vladivostok, c’est a dire sur la rive d’en face (c'est un peu loin, mais ça reste en face).

On parlera de la chanson quand on aura parlé du clip car ça me semble plus important de parler d’abord du clip. Ne parlant pas Russe et étant un peu juste pour faire une traduction littérale des sous-titres japonais (vous me connaissez, je suis un puriste, je n’aime pas les approximations) je vais interpréter personnellement de manière très précise ce qu’il se passe dans le clip. On risque donc de s’éloigner un peu de la version officielle mais ne vous inquiétez pas, pas de quoi dénaturer le message du clip (dont le titre est « aux personnes du monde »). C’est parti !

Le clip débute chez une fan Russe des NGT48, et en particulier de Ogino Yuka, car elle aime les idols qui font des discours de 10 minutes sans respirer. Cette jeune fille, nous l’appellerons Anastasia de manière purement arbitraire (car en réalité elle s’appelle Alinouchka ou Alina pour les intimes). Son père est un ex-militaire, reconverti dans la mafia Russe soutenue par la présidence, et qui désormais fait artiste de cirque (c’est normal en Russie). Le papa, Igorovich (au hasard), discute avec Anastasia de sa passion dévorante pour les idols Japonaises et s’inquiète qu’elle se couche trop tard à cause de ça. Surtout que demain, il faudra partir tôt car l’école d’Anastasia est à 3 heures de routes et que le char T-90 de papa commence a se faire vieux. En cas de panne sur le chemin, Anastasia risque d’être fatiguée et en retard.
Mais il ne peut rien refuser a sa fille unique depuis qu’il n’a plus de nouvelles de sa femme, une membre des Pussy Riot, engagée depuis 5 ans par « une entreprise gouvernementale » en plein coeur de l’Oural. A part revoir sa mère, se débarrasser de la voisine qui gueule à travers les murs et les animaux sauvages qui se baladent dans la maison, Anastasia souhaiterait voir les NGT48 au Japon. Mais son père lui rappelle que son pacemaker en titanium ne lui permet pas de prendre l’avion et de l’accompagner au Japon. De plus Anastasia est trop jeune pour y aller seule. Anastasia est donc toute triste.

Soudainement, son ordinateur portable s’allume tout seul (ça arrive fréquemment en Russie) et c’est Ogino Yuka, qui apparaît à l’écran (c’est beaucoup plus rare ça par contre, habituellement c’est plutôt un membre du FSB qui vous espionne par la webcam qui apparaît à l’écran pour vous dire qu’on vous a trouvé un job dans l’Oural et qu’on vient vous chercher). Ogiyuka, elle même fan de Jean Claude Van Damme, dit a Anastasia qu’en fermant les yeux, si elle commence à croire à ce qu’elle croit, il n’y a personne au monde qui pourra la bouger. Anastasia ferme les yeux et se retrouve tout en haut d’un bâtiment avec une sorte de seifuku noir, sa tenue de cover band. En bas se trouve Ogiyuka et les NGT qui commence leur nouvelle chanson devant des enceintes orange qui sentent bon l’époque de l’URSS. La foule aux alentours vient a la rencontre des NGT (niveau sécu, c’est nul!). Anastasia se téléporte en bas (et se retrouve une tenue classique, on ne sait pas trop pourquoi, peut être un phénomène de döppelganger...) pour atteindre le 1er rang.

A ce moment, on notera au passage (parce qu’a un moment il va bien falloir parler sérieusement de la chanson et du clip) que les tenues des NGT48 font très « beige militaire russe », mais que c’est assez joli, en particulier lorsque le bas de l’uniforme virevolte quand la caméra filme de dessus.

Les NGT continuent leur escapade dans les rues et des endroits un peu bizarre de type métro, équipées d’accessoires étranges comme des « boules géantes lumineuses sur tiges » et elles voient le cover band d’Anastasia sur un écran de TV faire une dance cover. Ensuite, elles vont voir le cirque de manouches du coin dont le directeur n’est autre que Igorovich, le père d’Anastasia, qui est constamment sous la surveillance d’un militaire (le gars en uniforme) depuis que sa femme a bénéficié d’un Job en Oural. Le militaire est assez laxiste. Il fini par se laisser envahir par la hype NGT48, de même que l’estropié édenté du coin. Anastasia décide alors de rester dans le public mais aussi de se dédoubler, tel un père Noël un 25 décembre, et de revêtir de nouveau son uniforme « imitation Seifuku gothique » en 5/100e de seconde (malheureusement, on ne revoit pas la scène au ralenti comme dans Uchuu Keiji Gaban). Bon, en réalité, on ne sait pas trop si elle a le don d’ubiquité ou si elle a des visions d’elle même, un peu comme une projection astrale, car le montage est chelou.

Toujours est-il qu’Ogino Yuka vient la chercher dans le public (pas la fille d’à côté, mais bien Anastasia... cette chance !). Elles dansent ensemble sur scène.

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(C’est normal en Russiiiiiiiiiie)

Puis le père d'Anastasia se pointe avec un léopard en guise d’écharpe (le fameux clin d’oeil au NMB pour celles et ceux qui suivent l’actualité. Cf. après la conclusion de la tartinette tout en bas), car c’est normal en Russie. Il dit en ASMR que c’est lui qui a invité les NGT48 à Vladivostok pour que sa fille puisse réaliser son rêve de les voir en vrai. Mais Anastasia se réveille et se rend compte que tout ça n’était qu’un rêve. Son PC est éteint (il s’est bêtement déchargé toute la nuit, les batteries c’est de la merde). Son père vient la voir dans sa chambre et lui dit « le T-90 ne démarre pas, tu va rater l'école aujourd'hui, je vais devoir le réparer. Vas t'assoir sur un banc pour prendre l'air tu as l'air pâlotte». La petite voisine d’Anastasia (celle qui était collées aux enceintes et qui ne doit plus avoir de tympan, c’est pour ça qu’elle s’exprime comme Bernardo dans Zorro) lui apporte un tract des NGT. Anastasia n’a donc pas rêvé. Les NGT étaient bien là cette nuit ! Ogino Yuka, apparaît alors pour lui dire que le single sort bientôt et qu’il faudra acheter toutes les versions. C’est le calin et le message final : « aux personnes du monde, achetez nos singles ».

Finalement, c’est un clip original, mais c’est un clip qui n’est pas pour vous si vous voulez voir d’autres NGT qu’Ogino Yuka plus de 3 ou 4 secondes.

Côté chanson, c’est plutôt frais et sympa. J’ai bien aimé ce qui nous est proposé. Si l’instru n’a rien de bien exceptionnel, il fait assez bien le taf dans l’ensemble. Le chant, bien qu’un peu trop répétitif, reste dans l’esprit que les NGT ont construit progressivement lors des précédents singles. J’aime bien. Sans être la face A du siècle, ça s’écoute sans trop sourciller.


LES AUTRES CHANSONS


SOFT SERVE


La Face B « titulaire » n’a pas de clip. Ça n’empêche pas la chanson de tirer son épingle du jeu (enfin du single…) avec un rythme plutôt soutenu dans l’ensemble, avec quelques respirations et variations fort sympathiques et un chant entraînant (le refrain est exquis) et plein de vie. Le style de la chanson est original sans pour autant partir dans tous les sens. Des faces B comme ça j’en redemande. L’instru est très travaillé (le travail est assez conséquent de ce côté) et les variations dans le chant s'enchaînent à merveille.

Soft serve est une excellente face B qui me donne l'irrésistible envie d’enclencher le « repeat ». C’est presque dommage de ne pas avoir de clip, mais la chanson est tellement bonne qu’elle n’a pas besoin de clip pour se mettre en valeur. Les NGT imposent leur face B principale en mode patron.


KOKORO NI TAIYOU (TYPE A)

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(Gilbert Montagné à également participé à la conception du clip. Suite au tournage, un caméléon présent sur place se serait pendu dans les toilettes. Aux pompiers qui l'ont sauvé in extremis, il aurait déclaré : "ce clip m'a rendu fou")

Je vais tuer le suspense d’entrée de jeu, pour moi le meilleur type, c’est le TYPE A. En effet, cette chanson cumule les arguments pour me plaire : un instru rock qui balance bien (et pas que pendant le soloooooooo!), un chant très sympathique qui n’est jamais ennuyeux car assez varié et qui épouse très bien l’instru sans compter un clip qui vaut son pesant de bonne grosse cacahuètes !

Déjà, le casting de la team NIII pèse sur le clip (Ogino Yuka, Kashiwagi Yuki, Yamada Noe, Nishigata Marina, Takahashi Mau… entre autres, avec une Seiji Reina magnifique). L’intro du clip avec les visages qui s’enchaînent est d’ailleurs très chouette. Mais à la limite, on peut presque mettre ça de côté car le clip a, par certains aspects, un côté stupéfiant !

Déjà, les costumes sont une espèce de gloubiboulga de couleurs mélangés n’importe comment. On en a déjà vu des mélanges de couleurs un peu de même style dans un peu tous les groupes du 48, mais celui là est quand même « high level ». ça passe peut être si on est daltonien, mais pour les gens qui ont une perception des couleurs classique, munissez vous de vos lunettes pour regarder les éclipses car ça fait quand même mal aux yeux. En réalité, c’est le gars qui fait les pochettes NMB qui a été embauché pour faire les costumes. sauf que son truc, c’est les pochettes. Et les costumes il n’aime pas trop ça. Du coup, on retrouve sa patte « picasso du futur » mais en costume, ça rend « dégueux ».

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(Il me semble que ce type de chaussettes, par exemple, est interdit par la convention de Genève)

Le but des filles est de créer un clip pour internet. Pour cela, elles tournent des scènes qui malheureusement perdent tout leur glamour pour tout un tas de raisons (entrée dans le champs de la caméra pendant le tournage, manger comme une cochonne, pose de pantin désarticulé…) bref, c’est le désespoir. On notera au passage que les passages « réussis » sont vraiment classes (ces plans visages style pub l’Oréal sont du plus bel effet).

Et puis on en arrive à ce petit décor bien dégueulasse de toutes les couleurs (Misaki vous dira que c’est de la merde et que les décors en carton c’est tout ce qu’il déteste. Et en fait, autant parfois certains décors en cartons sont défendables, autant ici j’irai probablement dans son sens en hochant de la tête au moment où il prononcera soit « c’est nul, c’est d’un mauvais goût...», « décor à 200 yens » et/ou « c’est moche, c’est horrible, c’est un décor de merde »). En réalité, restriction du budget oblige, c’est aussi le gars qui fait les pochettes NMB qui a été embauché pour faire le décor, sauf que son truc, c’est les pochettes. Et les décors il n’aime pas trop ça. Du coup on retrouve sa patte « picasso du futur » mais en décor, ça rend « dégueux ».


Imaginez maintenant les « costumes + le décor », le tout en mouvement avec le reste de la pièce et les techniciens dans le cadre (puisqu’on tourne un clip) et vous obtenez un des trucs visuel les plus ignoble jamais produit dans le 48. La finalité du clip c’est qu’au final, il n’y a pas de finalité.

On pourrait ajouter quelques mots sur la chorégraphie, qui est assez simple et un poil humoristique, Mais en tout cas, le clip est a ne pas rater! C’est vraiment quelque chose ! Toutefois, n’oubliez pas d’écouter la chanson en elle même qui est vraiment très très bien !


CURTAIN NO GARA (TYPE B)

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(Je vous invite a reproduire la chorégraphie lors du visionnage du clip
en vous affalant sur votre table. Vous ne raterez rien
)

Malgré de quelques petites idées intéressantes (la saturation de la guitare, la boucle synthétique, quelques courtes séquences de batterie), j’ai trouvé l’instru peu inspiré et assez ennuyeux dans l’ensemble. Le chant l’est tout autant (seules les parties solo s’en sortent). La chanson est lente, molle et sans réelle émotion. Je n’ai rien contre les chansons lentes, ils y en a des magnifiques, mais si déjà la chanson n’est pas entraînante et qu’en plus elle ne délivre pas d’émotions, c’est l’ennui assuré. Et c’est exactement ce qui m’est arrivé avec cette chanson.

Le clip suit la même tendance. C’est tellement inintéressant que je ne saurais quoi vous raconter. C’est simple, il ne se passe rien ! J’ai juste noté la partie chorégraphique relativement furtive avec les tables de classe. Ce n’est pas révolutionnaire, mais ça fait toujours son petit effet. Enfin, les deux mini rires de Nakai Rika et de Homma Hinata à la fin, j’ai trouvé ça sympa pour conclure avec une note positive un clip que je ne revisionnerai probablement pas de sitôt de mon plein gré...


NAKIBESO KAKU MADE(TYPE C)

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(un combat intense… ou pas !)

Si dans le clip on retrouve les paysages urbain gris et habituels des clips NGT48 (il pleut même carrément à grosse gouttes), les images comme la chanson se veulent légères et guillerettes.

La chanson est pleine d’un entrain mesuré et bon enfant. Le clip nous emmène principalement nous balader dans une sorte de rue commerçante dans lesquelles les filles reproduisent des séquences de mini-bouts d’émission (dont la dégustation de pattes d’un animal visiblement reptilien et assez volumineux)

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(Ceci est une patte de Tortue Ninja, un peu décédée)

Le clip a zero budget mais se laisse regarder par curiosité sans laisser de souvenir impérissable pour autant. le deuxième visionnage peu déjà avoir un côté chiant par contre. La chanson est archi classique, je pense que la plupart d’entre nous l’écouteront également sans difficulté mais l’oublieront tout aussi vite car rien n’est vraiment marquant.


KYOU WA MAKE DEMO II (THEATER)

J’ai beaucoup aimé cette chanson de la version theater. En fait c’est même peut être LA chanson du single pour moi. J’ai trouvé l’instru génial du début à la fin et ça m’a fait très plaisir de voir qu’on peut avoir des instrus aussi jolis dans le 48 bien loin des « encore trop récurrents » sons de synthé a pile, trompettes saturées dégueulasses et autres saloperies. Franchement c’est du pur bonheur cet instru, que ce soit le piano, le beat bien calibré et les divers éléments qui viennent se greffer au tour.

A cela s’ajoute un chant frais et très agréable qui n’a rien a envier à l’excellent instru. Le seul point qui me plait un peu moins, c’est la voix de bonhomme qui fait « one two, one two three four » deux ou trois fois durant la chanson et qui me semble totalement hors sujet. Je ne sais pas pourquoi ils ont mis ça. Mais hormis cette bizarrerie, c’est une chanson qu’il faut absolument écouter car elle est tout simplement magnifique. Quel dommage de ne pas avoir de clip !


CONCLUSION

Un single musicalement assez réussi grâce a un bel effort général sur les instrus. Certes, certains sont mieux que d’autres, mais globalement c’est satisfaisant et je pense qu’on va dans la bonne voie du côté des NGT.

La face A est dans la moyenne. Elle ne brille pas particulièrement, mais elle s’écoute sans peine malgré un petit côté redondant.

Pour moi, 3 faces B sortent du lot :
- KOKORO NI TAIYOU de la Type A
- KYOU WA MAKE DEMO II de l’édition theater
- SOFT SERVE, la face B titulaire.

Les 3 sont très largement supérieures à la Face A et ça m’étonnera toujours d’avoir des Faces B plus intéressantes que les Faces A. Mais dans son ensemble, l’écoute de ce single m’a fait passer un bien bon moment.

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(KingKong48, fan des NMB48 : "Attendez, ce ne sont pas les mêmes que d'habitude là ? Elles sont où Mirurun, Saepii et Aayan ? Je reconnais bien le décor pourtant ! Aaah, c'est suite au futur shuffle de janvier, ils ont transféré 14 NGT chez les NMB pour faire la team 4 II. Quoi ? je n'ai rien Compris ? C'était un passage au theatre ? Ah ooooooook !!!")

la même image en grand (cliquez sur l'aperçu pour ouvrir en grand) :
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