AKB48 49e single - #SukiNanda - 30/08/17

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lionel90
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Re: AKB48 49e single - #SukiNanda - 30/08/17

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Re: AKB48 49e single - #SukiNanda - 30/08/17

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Re: AKB48 49e single - #SukiNanda - 30/08/17

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Selon Billboard, le single s'est écoulé à environs 1 405 000 exemplaires le 1er jour.
http://www.billboard-japan.com/d_news/detail/54852/2

1 036 551 selon Oricon
http://www.oricon.co.jp/rank/js/d/2017-08-29/

2e jour: 20 674 copies.
Total: 1 057 225
http://www.oricon.co.jp/rank/js/d/2017-08-30/

3e jour: 14 742
Total: 1 071 967
http://www.oricon.co.jp/rank/js/d/2017-08-31/

4e jour: 5 734
Total: 1 077 701
http://www.oricon.co.jp/rank/js/d/2017-09-01/

5e jour: 6 075
Total: 1 083 776
http://www.oricon.co.jp/rank/js/d/2017-09-02/
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Re: AKB48 49e single - #SukiNanda - 30/08/17

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Re: AKB48 49e single - #SukiNanda - 30/08/17

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MON AVIS SUR «#SUKINANDA»
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Le nombre 49 équivaut à 7x7, valeur numérique représentant la perfection. J. Boehme, en tant que carré de 7, y voit "le Paradis". Nous on y verra 7 Kami7 multiplié par 7 Kami7 = la perfection au Paradis. Au delà de ça, il est le single du sousenkyo et le trait d’union entre notre symbolique « 48 » et la commémoration d’un 50ème single que l’on espère marquant.
LES POCHETTES LIMITED EDITION
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Les pochettes de l’édition limited reprennent le classement du senbastu du Sousenkyo sur de juin dernier par ordre croissant. On retrouve donc la N°1 sur l’édition type A, les classées 2 à 6 sur le type B, les 5 suivantes sur le type C et les cinq dernières classées dans les 16 première sur le type D. Quant au Type E il propose le Kami7,

On peut se dire qu’il aurait été plus simple de mettre 4 filles par pochette mais le choix a été fait de dédier une pochette à la N°1. Soit, c’est un choix qui peut se comprendre quel que soit la gagnante, je ne reviendrai donc pas dessus. En soit les 4 pochettes A, B, C et D sont sympas, on ne peut pas dire que ce soit moche. Même si le choix des boules est un peu curieux, ça ne rend pas trop mal (heureusement les boules sont toutes de même couleur). Disons que c’est satisfaisant. Le type E a vraiment une pose que j’aime beaucoup. Il est juste dommage d’avoir un font tout blanc et ses boules (enfin ces ronds ici) jaunes qui font un peu penser à un Casimir albinos.

Evidemment, chacun aura sa préférence selon ses membres préférées, mais honnètement, les 5 sont plutôt bien.
LES POCHETTES REGULAR
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Beaucoup plus classe que l’édition limited selon moi, l’édition régular (A, B, C et D) conserve un fond jaune, mais cette fois uni (exit les boules !) qui rend super bien avec les robes blanches et les chevelure foncées. Ajoutons à celà une ombre portée sur ledit mur et c’est bingo. En plus le titre du single a été intelligemment disposé et ne gène pas l’oeil

Par contre le concept est différent. On a 3 filles par pochette (visiblement il y en a 3 qui étaient moins photogénique ou alors, le photographe pensait que 3x4=16…). Chaque pochette dispose est splitté en 2 horizontalement, le haut du type A est occupé par la numéro 1, le haut du type B par la numéro 2, le type C par la numéro 3, le type D par la numéro 4 et le bas est occupé par 2 autres membres dont le choix ne semble respecté aucune logique particulière. On s’est surement dit lors de la conception des pochette “on y va YOLO”. Ou alors il y a eu un tournoi de Janken caché avec 3 perdantes. Ou alors… enfin on peut tout imaginer ! Encore une fois toutes les pochettes sont sympas, que l’on soit spécifiquement fan de quelqu’un ou pas. C’est du bon travail.

Le type E, si il souffre du même syndrôme du casimir albinos, a le mérite de proposer le senbastu en entier et la photo est très très bien ! En plus, on a un peu de chaque groupe, le classement à bien fait les choses, donc c’est vraiment très très trèèèèèèèèès très bien.
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Après une 48ème face A un peu déprimante dans l’esprit, ce 49ème single revient avec quelque chose de beaucoup plus lumineux et dynamique. Je dirais même que la chanson a carrément une bonne pèche et sonne aussi, malgré le senbatsu multigroupe, un peu plus AKB “classique” que ces derniers temps. Et ça, ça fait vraiment plaisir.

Si l’instru à quelques élément qui me plaisent moins (j’ai toujours du mal avec les instruments à vents employés ou certains sons de synthé et les woooooooouhooooooouhoouhoouhouuuuuu de fond qui reviennent beaucoup trop souvent dans le 48 ces temps ci. Quand je dis du mal, ce n’est pas sur leur emploi, mais sur le rendu qualitatif de l’instrument qui me semble vraiment en dessous), l’ensemble reste quand même solide avec ici ou là, piano, guitare, violons, beat efficace. Globalement ça me plait.

Ce que j’aime dans cette chanson, c’est que le titre à la patate du début à la fin et le chant réussi à ne jamais être monotone en proposant des variations interessantes. Le refrain est assez accrocheur et on ne s’ennuie pas entre deux.

Ce n’est peut être pas une face A ultime, mais en tout cas, je ne la bouderai pas car j’attends des AKB des titres comme celui là qui me rappelle un peu l’entrain des débuts. En plus, il s’agit d’un single quand même un peu particulier puisque rappelons que Mayu a annoncé son départ prochain lors du Sousenkyo et que c’était quand même une très grande figure du groupe. D’un autre côté Sasshi ne participera pas non plus au Sousenkyo l’année prochaine (d’ou le clip qui revient sur ces deux visages important du groupe comme on le verra plus bas). A celà s’ajoute de nouvelles têtes dans le senbastu comme Ogino Yuka par exemple, l’entrée de deux nouvelles NMB et probablement un leadership du groupe qui devrait passer dans les mains du duo Jurina/Sakura.

Alors oui, tout ça ne sonne plus trop AKB, mais je pense qu’au moins une page de l’histoire des AKB est sur le point de se tourner et il est probable que d’ici les 12 prochains mois, un vent nouveau souffle sur le groupe. En attendant, ce #SukiNanda est un joli barroud d’honneur pour les deux grandes figures actuelles du groupe et une sorte de point final à la relation Sasshi/Mayu à la tête des AKB lors de ce 4-5 dernières années. C’est aussi un regard vers le futur pour les autres qui auront une belle page toute neuve à écrire.


LE PV

C’est l’histoire de Mayu qui arrive en avion dans un très joli endroit au bord de l’eau (apparemment c’est une île) et qui est accueillie par Sasshi qui visiblement l’attendait. La partie histoire se penche donc sur les deux rivales du Sousenkyo qui se sont affrontées une dernière fois en juin 2017. Notamment dans l’épilogue ou Mayu est un peu dans un état d’esprit négatif, malgré le lieu édylique, et Sasshi fini par lui remonter le moral. Bien entendu, on y verra la une métaphore, celle d’une Mayu qui a tout donné ces derniers temps au groupe, qui n’aura pas réussi à reprendre la 1ère place malgré un score très honorable et qui a annoncé son départ. D’autre part, nous avons une Sasshi bienveillante qui lui temps la main pour la rebooster pour l’avenir et qui montre une image très positive de ce duo qui a essayé de mener au mieux le groupe après la première période Aachan/Yuko et dont il émane un sentiment de respect mutuel. J’ai trouvé que c’était vraiment une belle chose d’avoir pensé a faire ça dans ce clip.
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(C’était la dernière séquence et sur la plage le rideau est tombé...)
Mais évidemment, elles seront rejointes par d’autres petit groupes qui visiblement s’éclatent bien. Les plans de l’île, en particulier les passages chorégraphiés où on voit le Senbatsu danser sur l’herbe avec au loin la mer est d’une beauté époustouflante. De même les gros plan filmés en intérieurs sont vraiment super beau et permet de voir tout le monde un minimum en dehors des plans de groupe.
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(C’est de toute beauté !)
Franchement il est superbement réalisé ce clip et le réalisateur s’est bien arraché pour multiplier les plans variés et montrant à plusieurs reprises un peu tout le monde avec un temps à l’écran qui est assez bien réparti. Il se dégage de ce clip quelque chose d’apaisant et de bien être.
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(Joie et bonheur !)
Il est marrant de voir que certains plans sont formés par des groupes (le groupe SKE, le groupe NMB (dans leur élément naturel), le groupe “on est un peu seules donc on forme un groupe ensemble” (Yui/Sakura), le groupe des “on vient d’arriver dans le Senbatsu pour tout péter”. C’est marrant. Le seul petit bémol, peut être, c’est le manque de couleur sur les tenues dans la partie chorégraphie. Elles sont jolies mais un peu terne.

Notons que les crédits valent le coup d’être regardés pour ses très très belles images supplémentaires (Et il y a de belles fortifications là bas en plus et un bien beau pont !). Et quand je regarde le nombre de Managers (AKB managers 18 noms, SKE managers 9 noms, NMB Managers 10 noms, HKT managers 8 noms, NGT managers 4 noms, STU managers 4 noms) je me dit que soit ils sont systématiquement indiqués dans leur intégralité dans les générique même si ils ne font rien, soit ils sont tous sur place pour avoir un prix de groupe avantageux, soit dans certains groupe il y a de sacrés touristes !
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MON AVIS SUR LES AUTRES CHANSONS

DARASHINAI AISHIKATA

Instru génial (avec une première partie de type intro « Ridge racer 4» avec son petit piano ultra classe) qui mute vers une sorte « d’héroique trompette » qui est ici bien plus plaisante à écouter qu’à l’habitude. Rien que pour le piano, cette chanson est déjà une tuerie.

Niveau vocal c’est carrément excellent. Même les petits passages un peu hip hop/slam passent bien alors que ce n’est vraiment pas mon truc à la base. J’adore les petits na-na-na-na-naaa en fond comme vers 1’31.

Le chant se marie vraiment bien à l’instru. Les deux étant excellents, je suis évidemment très content de ce titre. Comme l’année dernière avec Densetsu no Sakana (j’en rêve encore), les undergirls ont vraiment eu droit à une superbe chanson.

LE PV
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(Visuellement c’est quand même surpuissant...)
Le clip démarre fort avec une chute au ralenti sur une voiture. En fait c’est même de la lévitation… C’est bien foutu en tout cas. Le clip est super beau visuellement. Les tons noir, le maquillage, les décors (gros plans et le gymnase), les fleurs… donnent un caché assez exceptionnel à ce clip. Ajotons une chorégraphie excellente.

Le clip des undergirls permet de constater que derriere le Senbatsu il y a encore du beau monde, que ce soit du côté des vétérantes (Oba Mina, Kato Rena, Minegishi Minami...), des futures mariées (…) ou des visages qui seront le futur du 48 (Ota Yuuri, Tanaka Miku, Nakai Rika...). Je n’ai qu’une chose a dire, regardez ce clip !

TOMADOTTE TAMERATTE (Type A)

Le titre des next girls est du niveau des undergirls, c’est à dire excellent. La chanson est peut être plus lente, mais elle dispose d’un instru peu envahissant qui laisse une large place au chant qui est très agréable voire carrément envoutant par moment.

J’aime beaucoup ce titre bien que paradoxallement j’ai très peu de chose à souligner sur le côté purement audio. Je ne peux que recommander de l’écouter pour voir si vous serez aussi sensible que moi aux qualités de ce morceau.

LE PV

Un clip commence en noir et blanc. Ça donne un petit cachet “Allemagne de l’Est” et c’est aussi un peu étrange. Surtout avec cette histoire de code barre. Du côté de la réalisation, il y a sans doute des anciens caissiers ou des fétichistes du supermarché. Ou alors, il s’agit de dénoncer le trafic d’humain car j’imagine (j’espère !) qu’aucune de ces filles n’est à vendre… (tout doit disparaitre !).

La fin du clip contraste avec le début puisqu’on passe en couleurs pétantes. Ce qui me plait beaucoup plus, même si un petit noir est blanc, surtout avec les couleurs qui apparaissent lors des scans, ça reste sympa quand c’est bien utilisé.

J’aime bien ce clip, même si il a un côté très bizarre assez perturbant, il dégage une certaine classe. En plus en temps que fan NMB, avoir Kato Yuuka en center est un plus non négligeable, même si moi j’aime un peu tout le monde et donc j’apprécie beaucoup ces clips multi-groupes que nous permet le Sousenkyo.
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(Alors dans ma liste de course, je vais prendre du Sae, du Saho, du Rara et comme je suis un peu gourmand, du Yuka pour le déssert)
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JIBUNTACHI NO KOI NI KAGITTE (Type B)

Mais que ce passe t-il ? On a retrouvé un stock de bonnes chansons ou quoi ? Encore un instru de qualité qui sait se faire relativement discret lors des passages chantés ou le soutenir parfaitement à certains moment et envoyer du paté lors des passages “pur instru”. Tout en légèreté sans être superficiel, il est fort bien construit.

Du côté du chant, je n’ai une nouvelle fois pas été déçu, en particulier lors du refrain qui est superbe. Je recommande évidemment cette chanson qui mérite comme toute celles dont j’ai déjà parlé plus haut de tourner dans la playlist du moment, voire plus.

LE PV
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(Une classe phénoménale (et Jean Michel Jarre au lasers !))
La première chose qui saute aux yeux dans ce clip ce sont les costumes er les couleurs que n’auraient pas renié Jeanne Mas (ou Stendhal pour les plus cultivés). Le rouge et le noir sont ultra classe et sublimés par l’éclairage (lumières, spots et lasers). L’ensemble est sublime !

Encore une fois, ce n’est pas tous les jours qu’on a l’opportunité de voir Komiyama Haruka, Ichikawa Miori, Tanaka Natsumi (dans une superbe robe, à ne pas rater) et Shibuya Nagisa (non, non, je ne fait pas de favoritisme,sinon j’aurai rajouté Airi…) dans un même clip, même si il faut bien le reconnaitre, il est quand même plus difficile de bien apercevoir tout le monde dans ce clip. Mais ça reste chouette quand même, surtout que les passages chorégraphiques sont vraiment attrayants.

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TSUKI NO KAMEN (Type C)

La qualité de la production ne se dément pas avec la chanson des upcoming girls. Pourquoi d’habitude on a toujours un ou deux instrus bien pourris alors que cette fois ci ils sont tous excellents ! Comme quoi c’est faisable ! Guitare à l’espagnol, piano/synthé, petit beat discret pour l’essentiel, le tout très bien mixé comme pour les titres précédents.

Le chant fait le taf et si j’ai peut être un tout petit peu moins d’affect pour cette chanson par rapport aux autres, elle n’en reste pas moins une belle réussite.

LE PV
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(Vous avez vu la taille de cet ours en peluche ?! )
Il y a de belles robes, la chorégraphie est gracieuse dans ses mouvements de bras et a ses petits moments sympatiques en particulier le mouvement de hanches comme vers 1’26, mais à part ça il ne se passe pas grand chose dans ce clip (il y a même des passages assis sans mouvement…). Par contre j’aime moins les petit pas d’’écartement vers 3’32 qui me rappelle le trouniquet de Lion Heart des Girl’s Generation car j’ai l’impression d’assister à une compétition de dressage de cheval. Oui je sais, c’est bizarre comme image, mais j’ai a chaque fois cette sensation et je n’aime pas trop ça alors que ces chansons sont bien : ça me gache un peu le plaisir. A part ça, si on n’attend rien de particulier du clip, ça se regarde, mais pour moi, ce n’est pas le meilleur clip du single.
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PRIVATE SUMMER – SHOWROOM SENBATSU (Type D)

L’instru est une nouvelle fois excellent. Piano, violon et guitare pour l’essentiel avec quelques trompettes. Aucun instrument ne se marche dessus malgré la richesse de l’instru. C’est vraiment très très bien.

Au niveau vocal, c’est également très agréable. Le refrain fonctionne très bien, le petit passage à 3’03 est magique. C’est dingue ce que ce single fait du bien aux AKB et d’une manière plus général au 48 puisque finalement, c’est un peu un single du crossover.

LE PV
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(Beaucoup de couleurs et une chorégraphie toute choupinette)
J’aime beaucoup ce clip, en particulier pour la chorégraphie “pure idol”qui est super mignonette (le jump est génial). J’aime aussi beaucoup les robes aux couleurs pastelles qui contraste bien avec le décor “couleurs un peu plus pétantes”. Bonne bouille de la center Onishi Momoka qui fait bien le taf sur les plans extérieurs.

Beaucoup de Kenkyuusei, de personne relativement jeunes/nouvelles ou que l’on a pas trop l’occasion de voir mis en avant jusqu’ici donnent un vent de fraicheur appréciable à ce clip. C’est bien !
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GIVE UP WA SHINAI – TOFU PRO WRESTLING (Type E)
Décidemment, on arrive quasiment à la fin de ce single et je ne vais même pas pouvoir dire qu’un titre est pourri car cette chanson me plait beaucoup aussi !

On remarque surtout la guitare hispanisante, instrument qui marque le plus dans cet instru. On retrouve aussi un peu l’esprit de Shoot Sign dans cette chanson, lien avec Tofu Pro Wrestling oblige.

Le chanson est donc assez calme, avec un chant que j’ai trouvé très bon voire plus dans les passages “solo” qui sont de grande qualité. J’ai passé un bon moment avec cette chanson.


LE PV
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(Moi quand je vois ça, je suis tout émotionné !)
Aaaaah le catch les gars, le catch, c’est toute une partie de ma vie ! Je coudrais avant tout remercier toutes les personnes qui ont contribué à tourner ce clip et la série Tofu Pro Wrestling : ça m’a vendu du rêve ! Le clip revient sur la rivalité d’équipe entre Jurina/Mirurun et Sakura/Yuihan (et accessoirement reprend des images de la série, comme ça c’est pas trop cher à tourner). Evidemment, dans le clip, on en profite surtout pour proposer de la chorégraphie (pas super d’ailleurs) durant l’entrée jusqu’au sur le ring et sa se termine au moment ou le match va commencer. Il faudra aussi m’expliquer pourquoi il y a un lancé de cotillions avant le match et comment on peut catcher dans un ring avant autant de merdier dessus (à moins que se soit des cotillions biodégradables à grande vitesse, c’est surement ça !)

L’univers de Tofu Pro Wrestling ça ne plaira pas à tout le monde, j’en suis conscient, mais moi j’adore. En plus, on a une représentante de chacun des “anciens” groupes (c’est à dire hors NGT et STU), personne n’est laisé à ce niveau. Me concernant, cet univers me plait donc j’ai bien aimé le clip pour l’ambiance, pour ces images, moins pour la chorégraphie, c’est vrai, mais j’adore tellement le catch que la chorégraphie dans ce clip m’est passé un peu par dessus la troisième corde…
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DAKITSUKOUKA - 16th GENERATION (Edition Theater)

Si le début est un peu déroutant au niveau vocal (disons que je m’attendais à des voix un peu plus fluettes, je ne sais trop pourquoi, mais ça doit être pour ça), cette chanson se laisse écouter et j’avoue que cette tonalité de voix apporte un minimum d’originalité.

Pourtant la chanson en elle même ne casse pas particulièrement des briques. L’instru est correct, comme le chant, mais j’aurai du mal à vous dire que j’aurai envie spontanément de l’écouter. En fait c’est une bonne chanson mais qui ne s’impose pas comme une chanson mémorable. On retiendra malgré tout sa bonne humeur et son enthousiasme dans les voix.

Celà dit, pour une chanson dédiée à la 16ème génération, c’est suffisant, ça permet au petit groupe de rentrer dans le bain. Sans prétention, cette chanson rempli cet objectif.

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CONCLUSION

Pour le moment, il s’agit probablement de mon single préféré de cette année 48/46 confondu. L’ensemble des chansons est d’un très bon niveau et je qualifierais ce single d’excellent.

Je sais que l’aspect un peu dream team ne plait pas à tous, en particulier sur les single AKB qui doivent être “exclusivement AKB” pour permettre au membre du groupe d’exister et de ne pas être écraser par les groupes soeurs, mais moi j’aime ça et puis c’est le single du Sousenkyo, c’est un peu fait pour. C’est un peu comme ci on ne voulait pas associer Songoku, Vegeta et Piccolo pour ne pas faire trop d’ombre à Krilin et Yamcha. Evidemment, qu’on ne veut pas leur faire d’ombre, mais quand on peut faire occasionnellement un tel melting pot et que le résultat est aussi réussi, il serait dommage de s’en priver.

Sur ce single, toutes les chansons valent le détour. Si on aura des préférences pour l’une ou l’autre, il n’y a pas trop d’écart de qualité comme c’est souvent le cas. La production est excellente. Il en est de même pour les clips qui ont tous fait l’objet d’un soin particulier, même si le budget était sans doute pas très équilibré. En tout cas il y avait des idées et des bonnes ! Un single que je recommande évidemment !
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