MON AVIS SUR «NAMBA AI ~IMA, OMOU KOTO~»
Après moult péripéties (dont un changement d’ordinateur avec des mises à jours foireuses qui ont puissamment retardées l’écriture de ce “mon avis sur”... encore un complot contre les NMB !), c’est reparti pour de nouvelles tartines !
3ème album des NMB48 sorti le 02 août 2017, Namba Ai - Ima, Omou Koto – propose de se replonger dans la seconde moitié des singles des NMB48 en y ajoutant 4 nouveaux titres éparpillés sur 3 versions (voire même 5 si on prend en compte chaque “type”) de l’album.
C’est vrai que 4 nouveaux titres, c’est peu comparé par exemple au dernier copieux album des SKE. Mais rappelons tout de même que contrairement à ces dernières qui n’avait sorti que 2 singles en début d’année et qui ont donc eu le temps d’enregistrer de nouvelles pistes pour l’album, les NMB sortent d’une grosse année 2016 avec 3 singles répartis sur l’année, le départ, entre autre, de Milky à digérer, la carrière solo de Sayanee à mettre en place (et les disponibilités qui vont avec) et la réorganisation à faire derrière qui semble s’achever avec cet album, ça ne me semble pas particulièrement surprenant.
En revanche, si je suis peu surpris par le manque de nouveauté de cet album qui fait plus figure de “best of” comme disait Koko dans l’excellent podcast N°95 (ou celui d’avant… ou celui d’après ! Et celà malgré le complot du micro savamment orchestré pour qu’on n’entende pas cette magnifique release :p), ce qui me fait un peu frémir c’est l’inquiétant vide au niveau single NMB depuis décembre 2016. Finalement, les 4 nouvelles pistes ne seraient t-elles pas en soit un 17ème single recasé dans un album ? C’est en tout cas l’impression que j’en ai eu.
Je vous propose de passer en revu les différentes versions de l’album en développant en particulier les nouveaux titres et en redécouvrant plus succinctement les titres déjà connus sinon on y sera encore à noël, je me connais.
EDITION REGULAR
REGULAR
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La pochette de la version régular est de loin celle que je préfère. Hormis le fait que ce soit une photo portrait de Mirurun (qui pour moi joue forcément beaucoup), elle est vraiment belle cette pochette. Comme disait Misaki dans le podcast dédié, pour faire une belle pochette, pas la peine d’essayer de tenter des montages exotiques, une jolie photo suffit)
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MASAKA SINGAPORE
Voici donc ce que l’on pourrait considérer comme la FACE A de ce “single 16.5” (c’est encore plus flagrant avec l’histoire du clip). Quoi qu’il en soit, j’aime beaucoup cette chanson. Déjà parce que c’est une chanson plein d’entrain avec pas mal de variations très sympas dans le chant (le eptit passage calme vers 3’45 est par exemple génail avant d’avoir une relance quelques secondes après). Le refrain à un petit côté “féérique” qui me plait énormément et la temps d’y arriver avec plusieurs passages chantés “solos” le rend encore plus fort quand tout le groupe s’y met. C’est simple, c’est le morceau que j’ai écouté le plus cet été.
Du côté de l’instru, on a une composition “assez riche”. Je regrette juste les petits passages instru comme à 1’56 ou 3’20 moins agréable à l’oreille, mais pas de quoi crier au scandale non plus. L’ensemble reste dans la bonne moyenne des instrus “de base” du 48. Pas extraordinaire (à base de beat et de synthé, difficile de faire un miracle), mais comme c’est assez bien fait, ça ne m’a pas particulièrement dérangé. Surtout que le mixage est parfait. Les voix ne sont pas du tout écrasée par la musique et la musique n’est pas pour autant étouffée.
Mais ce que je retiens surtout de cette chanson c’est le côté vocal qui est vraiment très soigné et qui ne relache jamais la pression durant tout le morceau. De belles voix variées, un refrain envoutant, voilà les ingrédients indispensable à une belle chanson. Vous l’avez compris, j’ai adoré cette chanson qui aurait vraiment mérité d’être la 17ème face A. On se contentera d’un officieux “16.5”.
LE PV
Il y a énormément de chose a dire sur ce titre en particulier. D’emblée, ce qui est intéressant, c’est qu’il s’agit de la « suite » du titre précédent, Boku Igai No Dareka. Le clip débute en effet par un flashback sur la fameuse histoire du « Golden Micro » (le « micro en or » pour les non anglophones) indiquant l’ouverture officielle de la succession de Sayanee à la place de center.
Rappelez-vous que ce clip se terminait par un suspense insoutenable avec le lancé de Sayanee de son Golden Micro vers le groupe qui, bras levé tentait de l’attraper. Un peu comme dans un mariage avec le bouquet de la mariée. Et suite à cette fin ouverte on ne savait pas qui serait la mariée, enfin si maintenant on sait que c’est Riripon la mariée, mais je veux dire la nouvelle center (même si on en avait une bonne idée quand même, et encore plus après le sousenkyo). Rôle important, leader, visage et vitrine du groupe, telle la liberté menant le peuple d’Eugène Delacroix (oui je peux caser des références de n’importe quoi dans des releases 48-46...), le poste demande des épaules solides et un minimum d’expérience, de popularité et de charisme. Ce nouveau leader que le groupe se serait trouvé tout seul comme disait les paroles de Boku Igai no Dareka et qui serait accessoirement adoubé officiellement par le biais du Sousenkyo entre deux tempêtes au sens propre comme au figuré … Bref !
Comme chez les NMB on a un peu de budget pour les singles d’été (on économise sur le tissu, c’est tout!), on a cette fois décidé de délocaliser le tournage du clip à Singapour. Pourquoi ? Et bien parce que. De toute façon c’est écrit sur le journal de Nagisa, « where is the golden micro ?». C’est comme se demander where is big moustache dans un bain turc. Il est évident que Sayanee le laisse dans un musée de Singapour en attendant de trouver à qui le confier.
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Where is the Golden Micro ? Il est là !)
Et c’est là que l’on découvre un clip en 2 phases principales : la phase chorégraphique, sur la plage en maillots, et la phase « histoire » à Singapour, en particulier dans ce fameux musée.
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Côté plage et côté ville)
Concernant la partie plage, on a droit à de belles images lors des « gros plans portraits » vraiment jolis et montrant au final principalement les classées du Sousenkyo dans cette phase. Les maillots sont plutôt originaux (mais totalement dépareillés, personne n’a le même) mais je trouve que l’ensemble rend plutôt bien.
Le moment à ne pas raté de la chorégraphie est clairement celui ou elles se mettent en ligne en avançant en croisant les jambes. C’est vraiment un moment magique. Mais comme le disait Koko, il faut voir ce moment en live plutôt que dans le clip (ou le sable ne doit pas aider).
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THE moment magique de la chorégraphie, à voir particulièrement en live)
On part donc de cette plage ou ondule furtivement mais de manière hypnotique Kato Yuuka (et accessoirement elle mets quelques bons directs aussi, restez prudents) pour que toute la troupe se décide à la vue du journal de partir à la recherche du Golden Micro. Toute, non, car Sayanee sait ou est son Golden Micro. Elle l’a cachée dans un musée à Singapour pendant les vacances du groupe.
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Dans un instant, Sayanee mettra un vent à son domestique)
Pendant que les NMB se déguise en cat’s eye (comme dans le manga et l’excellente série éponyme des années 80) et partent en Yacht à l’assaut du musée, Sayanee abandonne son laquet local qui lui apportait un petit drink et enfile sa tenue de gardien de musée pour les aider à s’infiltrer parce que si elle ne le fait pas exprès comme en gardien elle n’est pas super bonne (et les autres gardiens sont nuls pour de vrai, ce sont tous des Quentin Chapuis puissance 1000, de vrais bigleux !), les autres membres qui ont infiltré le musée se jouent des lasers malgré un manque de souplesse évident et passent dans son dos. Arrivées dans la salle ou est entreposé le fameux Golden Micro (celui des vraies !), chacune essaient de le faire fonctionner, dans un remake de excalibur et la légende du roi Arthur, mais sans succès.
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entre l’homme masqué de Sailor Moon et Cat’s Eye)
Alors que Sayanee arrive dans la pièce cette fois déguisée en cat’s eye (décidément on n’y comprend rien!) parce que… en fait, elle fait aussi parti du groupe ! (voilà!). Et dans sa main elle à le vrai Golden Micro et non la copie pour le musée. Du moins c’est ce que j’ai compris. Et alors elle se la joue remake en lançant le micro vers le groupe (car au final, dans Boku Igai no Dareka, c’était un rêve, personne ne l’a vraiment attrapé au final, en tout cas, c’est ce que j’ai compris…). Cette fois, épilogue de la phase de transition et de transfert de center, c’est Mirurun qui attrape au vol le Micro actant du même coup la libération partielle de Sayanee pour sa carrière solo : « tiens, je vais m’asseoir derrière, prends les clés du camion, c’est tout droit ».
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Sayanee joue son caméleon dans ce clip. “Tu le veux le Golden Micro ?”)
Celà dit, j’ai le sentiment que derrière tout ça se cache d’autres choses, un peu officieuses, comme la création provisoire de 2 nouveaux duos potentiels à des fins différentes. D’un côté j’ai l’impression que tant que Sayanee sera là, elle sera le mentor de Aayan et de l’autre on va avoir la constitution d’un autre duo Shiroma Miru-Ota Yuuri pour les doubles center à l’ancienne. Le tout entourés de membres populaires et solides comme Yoshida Akari, Kato Yuuka, Shibuya Nagisa ou Yagura Fuuko (sous réserve évidemment que tout le monde reste encore un peu). Ça permettrait d’avoir plus de possibilité de combinaisons à la tête du groupe sans se reposer uniquement sur Mirurun (qui fait aussi AKB à temps partiel) comme ça a été le cas avec Sayanee (qui était quand même sur-sollicitée même du temps de Milky). Alors évidemment ce n’est qu’une hypothèque qui ne vaut que ce qu’elle vaut c’est à dire pas grand-chose, mais j’ai cette impression.
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Changement de statut pour Mirurun qui a enfin un Golden Micro. Il faut chanter dedans maintenant)
Pour finir sur ce clip, je l’ai trouvé super beau avec de très belles images (les gros plans sont vraiment superbes) avec des couleurs éclatantes, de beaux costumes (ceux inspirés de cat’s eye sont bien sympathiques) et le côté dépaysant de Singapour avec de très beaux plans nocturnes ou diurnes. A voir sans hésitation.
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NAMBA AI
Phase B officieuse de notre single 16,5, Namba Ai, qui donne son nom au titre de l’album, est une chanson qui je trouve sonne très NMB (pas que pour son titre) pour son style que l’on ne retrouve pas trop dans les autres groupes. C’est difficile à décrire comme sentiment, mais ça me rappelle un peu « Ha » dans l’esprit par son style un peu inhabituel (bien que musicalement c’est très différent), mais pas que...
La chanson a un instru exceptionnel composé d’instruments traditionnel Japonais. J’adore ça ! C’est superbe. On sens bien la différence de qualité musicale des instruments entre Masara Singapour et Namba Ai. Ça n’a rien à voir. Et même si la première ne démérite pas comme je l’ai dit ci dessus, on pourrait presque écouter cette chanson en version instrumentale tellement c’est beau. Le plus incroyable c’est qu’à la fin de la chanson on a malgré tout l’ajout d’un solo de guitare qui déchire bien ! Tout pour (me) plaire ! La cerise sur le gâteau (The Cherry on the cake comme disent nos amis anglophones et Nelson Monfort), c’est le petit passage de 3’15 à 3’30 environ qui rajoute encore plus à l’ambiance « japonaise » du titre. Assez magique.
Celà dit, se passer du chant serait vraiment dommage car il est a la fois doux et envoûtant, ondulant comme un dragon au clair de lune au dessus de l’eau. Encore une fois, cette chanson c’est du pur ADN NMB dans le style traditionnel. Une chanson superbe dont on regrettera l’absence de clip dont on se doute que l’ambiance aurait été celle du visuel des pochette avec un côté un peu robe un peu chinoise et lampions.
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BOKU WA AISARETE WA INAI (Solo - Shiroma Miru)
Bien que Shiroma Miru a déjà eu l’occasion de chanter en live quelques chansons en solo, il s’agit ici de son premier solo officiel de notre single 16,5 virtuel. Pour ma part, je connaissais les qualité vocales de Mirurun puisque je la suis de “très” près puisque c’est ma N°2 derrière Sayanee tout 48-46 confondu. Je n’ai pas été vraiment été surpris par la performance vocale qui est de bonne qualité.
Par contre ce que je peux dire, c’est qu’elle a bien progressé vocalement. Sa voix chantée étant plus grave et plus puissante que sa voix parlée (qui est toute mimiiiiiii !!!), il y a quelques temps elle avait encore un peu de mal à positionner sa voix pour garder une justesse constante, en particulier sur certains passages probablement moins adapté à ce type de voix. C’est semble t-il désormais réglé et par ailleurs cette chanson étant a priori taillée sur mesure pour sa voix, on peut en profiter à fond.
Si Mirurun n’est pas connue pour être l’une des voix les plus impressionnantes ou exceptionnelle du 48, elle reste parmi les belles voix du groupe. A l’instar de sa soeur Miyu qui a une bien jolie voix, je trouve sa voix très agréable a écouter et elle est assez différente de Sayanee ou de nos voix très sympa mais un peu “étranges/a l’helium/très aigue” dont nous avons beaucoup de représentes passées ou présentes dans le groupe (Sutou Ririka, Yamada Nana, Milky, voire Yoshida Akari, Miorin dans leurs petit passages “solo”…). Cette mise en avant est donc bienvenue et apporte donc un peu de fraicheur et de diversité comme ce fut d’ailleur le cas avec d’autres solo, notamment celui de Momoka avec Priority qui était très interessant.
Voix qui fait finalement assez “femme”, et qui, lorsqu’elle pousse un peu en fin de phrase, touche au sublime ce qui augure du très bon pour la suite. Elle ne bénéficie cette fois malheureusement que d’un instru au synthé qui fait un peu cheap, mais qui heureusement est bien composé. Assez catchy (avec parfois un petit côté Phoenix Wright), il fait le taf et permet de se laisser porter par la voix de Mirurun.
Une chanson que je recommande vivement, évidemment. It’s time, it’s time it’s Mirurun time !
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BOKU IGAI NO DAREKA
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Une chorégraphie qui en met plein les yeux)
Je ne vais pas revenir en détail sur ce titre dont vous trouverez une version longue dans le « mon avis sur » dédié (ici,
viewtopic.php?f=10&t=1836&start=60 scrollez down un peu, voilà, c'est là) et une excellente release de Kacchan dans « le podcast qui va bien », mais si vous voulez avoir mon ressenti accouché près de 9 mois après, le voici :
Quoi de mieux que de citer une grande philosophe (hommage à Gocchisama et ses textes d’une qualité sans précédent que je n’atteindrai jamais). Boku Igai no Dareka, comme le disait Stéphanie de Monaco, c’est « comme un ouragan qui est passé sur moi ». Et j’ai beau me peigner, je suis toujours décoiffé aujourd’hui. Ce titre est une chanson de gros calibre qui rejoint par exemple Bokura no Eureka : un top NMB et du 48 tout entier.
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BOKU WA INAI
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un clip superbe qui dispose également d’une version dance en maillots)
Après le rouleau compresseur Boku Igai no Dareka, on retrouve la petite voix de Milky en intro de ce boku wa Inai. Si vous avez lu le mon avis sur dédié à ce single (cherchez un peu, sinon ce n'est pas rigolo ^^), vous savez déjà que j’ai adoré cette chanson avec son petit coté mélancolique et ses violons virevoltants.
La chorégraphie m’a également convaincu en particulier la rotation de tête qui m’a totalement enthousiasmé (gros coup de coeur).
Le clip était tout bonnement génial. Superbe cinématographiquement parlant, avec ce petit pincement au coeur de voir Milky quitté le groupe. Rappelons tout de même que si comme moi vous avez vôté pour ce clip au dernier sondage, vous devez selon Misaki “vous racheter un goût” car il fallait voter pour Amagami Hime. Eh bien non monsieur Misaki, je persiste et signe, aussi bon que soit visuellement Amagami Hime, le clip de Boku Wa Inai a une âme, lui ! (pas de popopoooooooo!“ ? très bien, je continue...)
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AMAGAMI HIME
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La drogue c’est mal, quand après morsure on ne se transforme pas en chatte (cf. Girlfriend), on danse dans une cage)
Doté d’un instrumental de qualité, cette chanson fait la part belle aux voix. Plutôt lente pour une face A qui n’est pas construite comme une balade, elle dégage un charme indéniable, en particulier dans son refrain de part sa chorégraphie très gracieuse.
Ce qui est bien avec les face A NMB c’est qu’à l’exception de celle qui va suivre, je vais toujours vous dire que c’est excellent parce que, et c’est peut être aussi pour ça que c’est aussi mon groupe préféré, je trouve que les faces A sont toujours très soignée.
Le clip était très beau, notamment la partie chorégraphie dans la cage avec les robes bleues, et surprenant (avec cette histoire de morsure et de “cachets louches”), mais moins que Boku Wa Inai (oui, là c’est du troll gratuit...)
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MUST BE NOW
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J’ai dit non, n’insistez pas !)
Attention, événement exceptionnel, je vais dire du mal d’une face A NMB ! Ce titre représente tout ce que je ne voudrais plus voir et entendre dans une chanson NMB. C’est du « oh my god », mais pas dans le sens que j’aurai aimé.
D’abord qu’est ce que c’est que cette intro avec ses éééééééééééh ééééééééééééééh, on dirait une vache à l’agonie ! Et ses voix totalement déformées ? Pourquoi l’instru sonne trop souvent comme un vieux jeu megadrive ? c’est un calvaire pour les oreilles (comme à 2’30, et pourtant j’aime bien la megadrive). Le refrain, qui en soit était sympa, j’ai l’impression qu’il fait 90 % de la chanson (alors qu’en fait non) : Ça devient vite lourdingue.
Notez aussi que le senbatsu à 9, c’est pas possible (ou alors tu t’appelle Twice, mais tu ne laisse pas des filles sur le banc, surtout que le prétexte de la technicité de la chorégraphie c’est objectivement du pipeau), je déteste la chorégraphie qui est franchement dégueulasse (on avait dit de ne pas prendre Kamel Ouali!) et je n’aime ni les costumes, ni la coupe de Sayanee qui ne ressemble à rien (et les pochettes, on en parle des pochettes?).
Alors j’ai déjà dit qu’il n’y avait rien à sauver dans cette chanson, mais je garde les 10
secondes après 2’45 et le refrain avec une fréquence moins élevée. Non laissez tombez, il n’y a rien à sauver dans cette chanson ! A des années lumières d’un Kamonegix dans le style électro-cosmotique. Comme dirait Kacchan, il ne passe pas le test de l’autoradio.
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DURIAN SHOUNEN
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Partant du principe que le métier d’idol consiste à faire rêver les gens et à les diverstir, je considère que ce clip et cette chanson remplissent parfaitement l’objectif : il fait beau, c’est les vacances, on fait la fête et on s’éclate. C’était aussi l’époque ou on n’avait pas encore perdu trop de monde, ça fait un grand plaisir de revoir toutes ses têtes)
Présentée en exclu durant le sousenkyo 2015, cette chanson c’est la joie de vivre à 200 %. Single d’été avec la patate et la bonne humeur de folie comme j’aime, Durian Shounen c’était aussi la mise en avant de Riripon et sa trop bonne bouille. A écouter sans retenue, surtout si vous êtes un peu déprimé(e) et pour se souvenir avec émotion de Ririka, élément atypique du groupe promise à un bel avenir dans notre formation, mais fauchée en plein vol par un torche cul japonais.
En live, c’est excellent, surtout en fin de concert quand Riripon est HS et hurle au lieu de chanter pour foutre le feu à la salle, ça fait mal aux oreilles, mais c’est jouissif.
Le clip était excellent, entre les phases ensoleillées et dansantes en maillots et les phases avec les dragons chinois qui se déplaçait, c’était magique. Sans compter l’histoire de ce fameux Durian qui pue et sa chorégraphie qui était pétillante ! Petite pensée aussi pour Jonichi Kei qui était trop mignonne quand elle metait son poing sur sa joue. Wouhou !!!
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DON’T LOOK BACK
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le rouge à lèvre rouge sur du noir est blanc symbole du : même si on est mort, on est toujours un peu vivant)
Dernière participation à une Face A de Yamada Nana et un titre qui nous rentre dedans avec beaucoup d’énergie. Un titre qui sonne rock sans être vraiment une pure chanson rock (mais avec quelques grosses guitare ici ou là, notamment en fond) avec des touches de piano, synthé et trompettes. C’est une chanson qui est vraiment très sympa et que j’écoute toujours avec grand plaisir.
Le clip est trop stylé avec son noir et blanc et la chorégraphie, qui peut sembler un peu « bordélique » par moment a base de mouvements de combat, exprime finalement bien le côté défouloir et énergique du morceaux.
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RASHIKUNAI
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Avec les copines, on s’est dit qu’on se ferait bien une soirée mousse au presbitaire, mais Yukirin a confondu les bières avec le shampoing. Le curée lui à mis une pèche dans la poire !)
Rashikunai est une chanson que j’affectionne particulièrement. Première originalité, un double center Mirurun-Fuuchan. Deuxième originalité, une chanson avec des instrument à vents (saxophone) bien exploitée, ce qui est assez rare. La chanson est pleine d’entrain et donne une patate d’enfer. La aussi si vous êtes un peu déprimée, ça peut être un bon remède (laissez tomber les médicaments, écoutez les NMB enfin, ça ferait même danser mémé !).
La chorégraphie est trop mignonne en plus et a ses petits moment impressionnant comme lorsque que tout le groupe se disperse d’un mouvement de jambe. J’ai récemment montré une perf live de Rashikunai à une amie qui ne suis pas le 48 et sa première réaction ça a été « oh on dirait des petites poupées, elles sont jolies » et ensuite le fameux « ouah, mais elles sont trop ! » (Toi, tu n’as pas vu un full 48 group dans un stade!).Ce qui me fait dire que du côté marketing, ils ont oubli de creuser du côté des poupées. Qui ne voudrait pas du poupée Fuuchan Rashikunai ou Mirurun Rashikunai ? Franchement !?
Le clip par contre était bien étrange ! (Limite malsain avec l’espèce de curé adepte des sévices corporel comme on n’en avait pas vu depuis Candy) mais on s’en fout car ça fini dans une pièce transformée en bain moussant géant. Pourquoi ? Parce que ! Ne posez pas de question, est ce que je vous demande si un verre de terre peut mourir étouffé, non, alors soyez sage.
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365 NICHI NO KAMIHIKOUKI (Solo - Yamamoto Sayaka)
Rappelons cette chanson était la face B du single Be my Baby des AKB48. Il s’agissait d’une chanson de Sayanee featuring AKB48 (ben oui, finalement c’était ça, hein !). Certains pourraient parler d’Anschluss de chanson, mais comme on n’est plus dans les années 30, je dirais que cette version n’est finalement que le retour à la maison d’une chanson qui aurait du rester chez les NMB (ça aurait permis de ne pas éclipser la face A AKB).
Cette chanson est une merveille et si je n’étais pas un citoyen modèle, je serait près à retirer une tétine de la bouche d’un enfant pour l’écouter (au calme, car le mouflet risque de hurler après). Je reste en extase devant cette chanson et si j’ai un reproche à faire, c’est que les NMB l’on aussi faites en live, donc ça aurait pu être sympa d’avoir une version de groupe plutôt que le solo (qui est exceptionnel donc ce n’est pas grave, mais vu que c’est un album NMB, ça aurait été cool d’avoir une version groupe et de laisser la version solo pour les concerts de Sayanee en solo pour les rappels par exemple)
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SHORTCUT NO NATSU
On enchaine avec le solo de Riripon. Je fais parti de ceux qui adore cette chanson. Il y a la voix, bien sûr, assez atypique, mais la chanson en elle même est super sympa. Elle a la pêche et même si l’isntru est cheap, il se rattrappe bien avec son solo de guitare. Très variée dans le rythme et dans les intonations de voix, je passe toujours un super moment avec cette chanson ! Cette chanson, je l’aime !
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PRIORITY
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La priority ? c’est à droite...)
On continue avec les solo (ça en fait 4 de 4 filles différentes sur cet album !). Paradoxallement, j’ai toujours un affect particulier pour les solo alors que le concept du groupe, c’est justement que ce soit un groupe. Bref !
Ce priority de Kinoshita Momoka fut une belle surprise, pas uniquement pour le côté vocal fort honorable, mais pour son clip vraiment classe et qui permettait de voir les KKS en support back-danseuses ce qui était vraiment sympa.
Très agréable à écouter avec un instru solide et un bon solo de guitare, l’air reste bien en tête. La vie est belle quand on écoute cette chanson.
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ASPHALT NO NAMIDA
Probablement moins connues que les autres chansons de cet album, Asphalt no namida est une chanson des Kenkyuusei NMB de l’édition theater de Rashikunai. Pour autant, la chanson à toute sa place dans cet album car non seulement elle envoi du paté vocalement (avec des voix moins habituelle évidemment, donc ça change) et au niveau de l’instru qui est bien vénère aussi car très rock, avec un bon solo de guitare.
On sent les sourires dans les voix et ça fait bien plaisir. Une chanson à (re)découvrir sans hésiter car si ce n’est pas la chanson du siècle, elle reste très bonne et on passe un bon moment.
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TOMODACHI
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Tomodachi, ça ne s’explique pas, ça s’écoute, ça se ressent)
Après les solo, nous retrouvons Tomodachi, la chanson de départ de Yamada Nana accompagnée par Sayanee. Je pourrais faire copier collé avec le paragraphe de 365 Nichi no Kamihikouki sur les qualités de la chanson. Pour moi c’est une chanson mythique, sublime et très émouvante. Cette chanson sur l’amitié donne vraiment envie de pleurer.
Je suis désolé pour ceux qui espérait plus de nouveauté, mais quand on a un album rempli de chanson de qualité, comme celle ci, ça reste la meilleure vitrine possible pour ceux qui ne connaissent pas ou peu le groupe. Pour une compil best of de la seconde moitié de la carrière des NMB, c’est du super lourd. En temps que fan, c’est le genre de chanson qui te rendent super fier d’aimer lc groupe.
Pour moi c’est une des meilleures chansons écrites pour le 48 tout entier.
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SOTSUGYOU RYOKOU
Antépénultieme chanson de l’album, extraite du single Don’t Look Back, cette chanson se distingue par son refrain magique (beaucoup de magie dans cet album). Chanson calme, douce, extrèmement reposante avec son moment d’émotion lors du refrain et qui démontre que les face B sont loin de faire du bouche trou dans les singles.
Vocalement la chanson est assez exceptionnelle. C’est super beau ! Un grand moment solennel lors des concerts aussi. Une chanson indispensable !
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NIJI NO TSUKURIKATA
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De la bonne humeur survitaminée)
Après le solo, le duo, les chansons de groupes, voici le quintette ! On sort tout l’arsenal sur cet album ! Pour moi cette chanson est un peu dans l’esprit de shortcut no natsu (ou l’inverse plutôt) : patate de ouf, joie de vivre, ferait renoncer un suicidaire de passer à l’acte.
L’enchaînement des voix est génial, le refrain défonce tout, il y a des « eh eh wouhou ! », du solo de guitare: merci !
Le clip, simple mais diablement, efficace avec sa chorégraphie pleine d’entrain reste gravé dans ma mémoire. C’est frais, ça fait tellement du bien ! Des chansons et des clip comme ça j’en redemande.
On regrettera juste que le quintette d’origine composé de Ota Yuuri, Sutou Ririka, Shibuya Nagisa, naiki kokoro et Yabushita Shu a bien fondu. Espérons que cette chansons soit néanmoins toujours jouée en live à l’avenir avec du renfort.
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DOTONBORI YO, NAKE SETE KURE !
On arrive à cette dernière piste extraite de l’édition theater de Amagami Hime. On termine par un slow. Un vrai. Celui qui permettait d’emballer dans une boum dans les années 80. Non oubliez ça. Bref ! un slow très joli vocalement et c’est ce que je retiendrai de ce morceau car l’instru me plait un peu moins. Pas qu’il soit moche mais ça fait vraiment passé de mode.
Un peu curieux de finir sur une chanson comme celle ci après la déferlante de la piste précédente (on retombe bien en pression), mais pourquoi pas, après tout.
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Les albums des éditions Type N, M et B sont divisés en 3 parties :
1- La partie commune avec l’édition régular
2- Les faces B des 7 derniers singles de la team N, de la team M ou de la team B selon le type choisi
3- Les faces B parues sur des singles AKB.
I – La partie commune à l’édition Regular
Les éditions type N, M et B ont toutes en commun 9 chansons de l’édition “Regular” à savoir deux des nouvelles chansons suivies des 7 dernieres faces A des singles des NMB :
1- Masaka Singapore
2- Namba Ai
3- Boku Igai no Dareka
4- Boku wa Inai
5- Amagami Hime
6- Must be now
7- Durian Shounen
8- Don't look back!
9- Rashikunai )
II – Les faces B de chaque team en fonction du type choisi
TYPE N
TYPE N (face B de la team N)
10- Kodoku Guitar
Kodoku Guitar est une face B que j’adore, bien rock, avec une bonne énergie et un instru de qualité. Le clip est également à revoir pour sa réalisation soignée et ses beaux visuels. (cf aussi la version longue du mon avis sur Boku Igai no dareka pour plus de détails)
11- Sora Kara Ai ga Futte Kuru
Ce titre n’est peut être pas la face B la plus inoubliable de la team N, mais elle s’écoute et reste suffisamment frais et sympathique pour y revenir. Le titre est assez léger mais bien construit avec un instru très interessant avec notamment un petit passage electro qui s’enchaine sur un solo de guitare. Chant agréable.
12- Hakanai Monogatari
Chanson assez lente et plutôt “paisible” (présence de sonorité japonaise) qui ne retiendra pas forcément l’attention de tous, mais qui dispose d’un refrain assez chouette et toujours le petit solo de guitare qui va bien.
13- Kyusen Kyotei
C’est la chanson que j’appelle la chanson des sixties, parce qu’aussi bien musicalement que visuellement, ça fait très années 60/70, C’est particulier, ce n’est pas forcément mon truc au premier abord, mais au final, même si c’est le genre de chanson qui m’ennuie potentiellement assez vite, j’avoue pouvoir prendre plaisir à l’écouter ou à revoir le clip de temps en temps (clip qui visuellement est très sympa).
14- Renai Petenshi
Cette chanson n’est en revanche pas trop à mon goût. La structure de la chanson ne me plait pas trop, l’instru ne me plait pas non plus dans l’ensemble. Reste le chant assez rapide qui ne baisse quasiment jamais d’intensité et sauve ce titre. Mais disons que je ne me roulerai pas forcément sur la moquette pour demander à le réécouter, contrairement à la chanson suivante.
15- Inochi no Heso
Rappelez vous que nous avions eu la chance d’avoir une release par M Jean-François Istasse du single Durian Shounen parmi lequel figurait la face B “Inoshi no Heso”. Et je trouve qu’on est passé un peu vite sur ce titre qui me semble largement sous-estimé. Ce titre avec ses riffs de guitares bien rock je le trouve excellent. Le chant est absolument génial et la chorégraphie envoie du bois (je me souviens d’une vidéo de répétition assez impressionante), le clip, avec ses écran de TV, n’est certe pas le plus marquant mais il a le mérite d’être original.
16- Yume ni Iro ga Nai Riyuu
On termine les faces B du type N sur une chanson qui débute lentement et qui prend progresssivement son rythme de croisière avec légèreté (avec le petit piano qui va bien). Le chant est vraiment bon. Si je devais conseiller cette chanson, ça serait au fans des Nogizaka46 qui devraient retrouver un style pas si éloigné de ce qui se fait chez les Nogi sur certains titres. A découvrir ou à redécourvrir, cette chanson est vraiment très bien. J’aime beaucoup.
CONCLUSION FACE B TYPE N : La grande force de la team N, ce sont les chansons rentre dedans, avec de grosses guitares et son budget clip. Je retiens principalement Kodoku Guitar, inoshi no Heso et Yume ni Iro ga Nai Riyuu qui valent vraiment le détour.
OU
TYPE M
TYPE M (faces B de la team M)
10- Koi wa Sainan
Plus le temps passe et plus j’apprécie cette chanson. Notamment le chant, même si l’instru n’est pas en reste (avec ses petites cloches ^^). Mais si il faut écouter cette chanson, c’est obligatoirement en regardant le clip très... “spécial”, mais aussi très marrant et second degré. (cf le mon avis sur Boku Igai no Dareka pour plus de détails).
11- Saigo no go Shakudama
Je retiens plusieurs choses de cette chanson : le refrain, la chorégraphie dudit refrain et ici encore, la chanson mérite d’être vue avec son clip tout choupinet, plein d’enthousiasme et de passage qui font sourires (et puis il y a les maillots aussi ! ^^). En plus on a un beau petit solo de guitare. Une bonne chanson qui (re)donne le sourire.
12- Koi wo Isoge
Une face B relativement dispensable, sauf si vous regardez le clip en même temps pour la chorégraphie qui est assez choupi et pour le début ou Mirurun et Fuuchan font les folles en pyjama. C’est sympa, mais ça ne passera pas le test de la playlist de Gocchisama chez tout le monde.
13- Migi ni Shiteru Ring
Une face B relativement dispensable, sauf si vous regardez le clip en même temps pour les costumes de maid colorés. Oui je sais, j’ai recopié en partie le paragraphe du dessus, mais finalement c’est un peu deux cas similaires. Un titre mignon, mais qui a pour défaut d’être juste “sympa”. Ça s’écoute mais, ça ne marque pas, malgré un refrain agréable.
14- Heart Sakebu
Une face B relativement dispensable, sauf si vous regardez le clip en même temps pour les ses belles images soignées. Oui je sais, j’ai encore recopié en partie le paragraphe du dessus, je suis un peu une grosse arnaque, mais pour être honnète, on reste dans le même schéma : Le titre est mignon, mais qui a aussi pour défaut d’être juste “sympa”. Les fans de chansons un peu calme avec un soupçon de romantisme version “bibliothèque rose”, devrait adorer en revanche.
15- Boku dake no Secret time
La chanson est plutôt anecdotique (A la rigueur, je dirais que l’interet principal du morceau c’est le refrain qui fait Jackson five), mais en revanche, le clip est vraiment original. Si vous aimez l’ambiance western ou la petite maison dans la prairie, c’est à voir. En revanche, je passe mon tour, musicalement ce n’est pas trop mon truc.
16- Good-bye, Guitar
Vous allez être étonné ! Mais il s’agit d’une face B relativement dispensable, sauf si vous regardez le clip en même temps ! On est à nouveau dans un délire années 60 avec les costumes qui vont avec. Malgré le haut degré de mignonitudes des membres de la team M, j’ai souvent du mal à accrocher aux chansons. Par contre le clip est vraiment original une fois de plus, même si j’avoue que ce n’est pas trop mon style.
CONCLUSION FACE B TYPE M : moins convaincante musicalement que la team N, la force de la Team M ce sont les clips et leurs mises en scène ou on a souvent des clips assez barrés. Mes préférées sont Koi wa Sainan et Saigo no go Shakudama
OU
TYPE B
TYPE B (faces B de la team B)
10- Let it snow!
Let it snow est une chanson que j’aime bien car elle est assez entrainante. Rien d’incroyable à mentionner autre que ce que j’avais déjà dit dans le “Mon avis sur boku Igai no Dareka”. Le clip n’a vraisemblablement pas bénéficié de grand moyen, mais il reste agréable à visionner.
11- Mousou Machine 3gouki
Une chanson pleine d’entrain en particulier lors de son refrain. Pour les fans de travail au bureau (les collègues sont charmantes en plus) et ceux qui aiment voir Milky avec les lunettes d’Harry Potter, le clip est indispensable ! Ce n’est pas la face B du siècle, mais elle a un certain charme.
12- Ferry
Une chanson avec à nouveau un refrain sympathique mais malheureusement manquant un peu de force pour convaincre et c’est surtout un peu longuet pour y arriver. Un titre au final un peu ennuyeux. Le clip n’a rien de particulièrement indispensable non plus.
13- Star ni Nante Naritakunai
Attention, là nous somme devant un indispensable Gameblog ! Cha cha cha chacha et refrain catchy, sans oublié le clip avec sa vrai fausse cabine qui s’ouvre en public, voilà un titre très original et carrément atypique. Si il ne plaira pas forcément à tout le monde car la encore pour arriver au refrain qui déboite ça prends son temps, ne refoulez pas votre curiosité pour découvrir cet OVNI.
14- Romantic Snow
Romantic Snow est une chanson qui eme laisse plutôt froid (gag !). Pas géniale, mais pas mauvaise non plus. Pas indispensable, mais qui s’écoute, sans plus. Le clip donne un peu froid. La petite chorégraphie est mignonne comme tout par contre et il y a un bon petit solo de guitare. Par contre les trompettes bontempi, on devrait arrêter ça chez les NMB...
15- Kokoro no Myoji wo Kake!
Faisons simple, faisons bien : ce n’est pas une chanson pour moi. Je n’ai rien retenu de cette chanson, je ne me souvenais même pas du clip avant de faire ce Mon Avis Sur. C’est comme un vide intersidéral. Ça peut peut être plaire aux personne qui aiment les chansons calme avec un refrain qui reste très mesuré. Perso, je passe.
16- Kufuku de Renai wo Suru na
On finit le tour des singles de la team B (BII même) avec du lourd. Je pense que cette chanson là est succeptible d’être arrivée jusqu’à vos oreilles même si vous ne suivez pas spécialement les NMB grace à son refrain extrèmement accrocheur. Le clip du speed dating avec des vieux qui se mettent torse nu et qui gigotent du bide (la danse du ventre, ce n'est plus ce que c'était), c’est quand même hardcore !!! En tout cas, j’aime bien cette chanson, malgré un instru assez cheap.
CONCLUSION FACE B TYPE B : du bon et du moins bon, la team BII c’est un peu une synthèse entre le team N et M dans ce qui a du bon mais aussi ce qui l’est moins. Je retiens surtout Kukufu de Renai wo Suru na que les SKE nous envie surement (non ? Je ne sais pas... je dis ça au pif, mais souvent ce que je dis est assez gadget). Je recommande aussi Star ni Nante Naritakunai, let it snow et pourquoi pas un petit Mousou Machine 3gouki.
III – Les faces B sorties sur les singles AKB
17- Mayonaka no Tsuyogari
Extraite du Single Shoot Sign des AKB48, c’est la chanson du clip de la SNCF du Japon ! La chanson a beau être lente (quoique le refrain et deux trois coups de guitare vous réveille quand même assez vite si jamais ça n’allait pas assez vite pour vous) j’aime bien cette chanson. En plus le clip je le trouve assez beau avec les robes violettes et la partie “histoire” qui est également magnifique visuellement. J’aime bien aussi la chorégraphie. Bref, je dis oui !
18- Shigamitsuita Seishun
Extraite du single Kimi Wa Melody des AKB48, c’est une chanson que j’aime beaucoup ! Les enchainements de voix fonctionnent à merveille. Le refrain est bien trouvé et est entêtant. Personellement j’adore. Le clip (dit clip stade 2) est également à voir, ne serait-ce que pour la partie chorégraphique sur le toit d’un immeuble.
EDITION THEATER
(
L’édition theater a pour originalité de ne pas être une photo mais une illustration de type manga. Pourquoi pas, le rendu est assez sympa, j’aime bien.)
L’éditions theater est également divisée en plusieurs parties :
1- La partie commune avec l’édition regular
2- Un nouveau titre
3- d’autres faces B.
I – La partie commune à l’édition Regular
Les éditions type N, M et B ont toutes en commun 9 chansons de l’édition “Regular” à savoir deux des nouvelles chansons suivies des 7 dernieres faces A des singles des NMB :
1- Masaka Singapore
2- Namba Ai
4- Boku Igai no Dareka
5- Boku wa Inai
6- Amagami Hime
7- Must be now
8- Durian Shounen
9- Don't look back!
10- Rashikunai
II- un nouveau titre
3- Sasasa Saikoo!
Dans cette nouvelle chanson on retrouve Yamamoto Ayaka et les Kenkyuusei Jonishi Rei, Umeyama Cocona, Yamada Suzu, Iwata Momoka et Mizokawa Mirai. En gros, on a mis à contribution une partie des jeunettes NMB. Le résultat est honorable. La chanson, assez courte (3’20) évoque plutôt une ambiance de vacances. Si l’instru est assez quelconque, la partie vocale, pleine de fraicheur (on se croirait presque chez les HKT…) n’a pas a rougir. Evidemment ce n’est pas la chanson du siècle, mais on passe un bon moment.
III- Les autres faces B
11 – Ima Naraba
Ima Naraba, c’est évidemment une chanson très importante, au même titre que Tomodachi, pour tous les fans des NMB : le dernier duo Milky-Sayanee est une chanson superbe chargée en émotions. Cette chanson marque la fin d’une ère durant laquelle le duo a mené le groupe. Cette période de 5 ans dont on revoit avec émotion des images dans le clip est passée finalement bien vite. Rien que pour le symbole, cette chanson est indispensable. L’instru est à la hauteur de l’évènement et les deux voix se complètent à merveille.
J’ai aussi perdu quelques litres par les yeux quand même sur cette chanson. C’est beau. Oui, c’est beau… C’est magnifique même. Merci pour cette chanson.
12 – Yume no Nagori (solo Watanabe Miyuki)
Si la chanson précédente ne vous à pas achevé, voilà le deuxième effet Kisscool avec un solo de Watanabe Miyuki. Il s’agit d’une superbe balade qui permet de réentendre la petite voix qui semblait si fragile de Milky. Le chant est remarquable et est accompagné d’un piano magnifique. Ce 5ème solo NMB est une cinquième réussite qui démontre la richesse et la qualité vocale des membres du groupe qui fonctionne aussi bien en solo, qu’en duo ou en groupe, dans des style assez variés. A écouter sans retenu.
13 - Taiyou ga Sakamichi wo Noboru Koro
C’est cette fois l’ensemble des Kenkyuusei NMB qui figure au casting de cette chanson du single Boku Igai no Dareka. Je la trouve plus accrocheuse que Sasasa Saikoo ! Et plus riche avec des variation bien amenées. J’ai donc une petite préférence pour celle ci, notamment grace au refrain que je trouve très bon. On a une réserve très intéressantes chez nos KKS et il serait temps de les intégrées définitivement au groupe, n’est ce pas ?
14 – Tochuu Gesha
Il s’agit de la chanson de départ de Jonishi Kei. j’en ai déjà parlé dans le mon avis sur Boku Igai no Dareka, mais ça ne me dérange pas de redire que c’est une très belle chanson (joli instru et c’est vocalement très beau). C’était une membre que j’appréciais beaucoup. De ce fait j’ai beaucoup apprécié le clip avec la fin en compagnie de sa sœur, comme un passage de relai.
15 – Nietzsche Senpai
Une chanson légère, sans prise de tête avec un chant agréable, assez apaisant quoi que non dénué de dynamisme. Il suffit de se laisser porter par ce dernier pour passer un bon moment. En tout cas, si vous voulez vous relaxer un instant, ce titre fait parfaitement l’affaire. Une bonne chanson dans son style.
16 – Sayonara, Kakato wo Fumu Hito
Cette chanson est particulièrement intéressante car non seulement elle dispose d’un instru original et de qualité, mais le chant, fort joli, est quelque peu volontairement « haché ». Je trouve que le rendu est vraiment super. Une chanson probablement assez méconnue des personnes qui ne suivent pas trop les NMB, mais qui vaut largement le coup de s’y attarder. Du côté du clip, on est dans l’univers du football. Mais l’intérêt est plutôt de voir des membres que l’on voit trop peu habituellement dans les clips.
17- Doudemo Ii Hito Hamen
Un peu dans le même style relaxant de Nietzsche Senpai avec une musique et un chant assez léger et qui vous fera le plus grand bien après une journée épuisante. A choisir entre les deux, j’ai une légère préférence pour celle ci. Le piano et les voix très agréable font le taf.
18 – Kataomoi Yori mo Omoide wo...
On termine cette édition theater sur un morceau un peu plus rock (une bonne grosse guitare en fond) et catchy (le refrain est très efficace). C’est le genre de titre qui fait très plaisir. La prod est excellente en plus entre la guitare, le piano, le violon, les voix : le mixage est impeccable ! Si le clip est à mon avis dispensable car il n’a rien de très spécial, il serait dommage de passer à côté de ce titre véritablement excellent !.
CONCLUSION
Si on se borne aux nouveautés, on peut comprendre la déception de certain(e)s. Mais évidemment, je vais défendre mon groupe comme l’a fait Koko lors de la release. Il est vrai que 4 nouveautés fragmentées sur 3 (ou 5) versions, c’est peu. Mais force est de constaté que les 4 titres sont plutôt de bonne facture. C’est toujours mieux d’avoir 4 titres de qualité que 10 titres de remplissages. Et même si Sasasa Saiko est peut être un peu en dessous des 3 autres, globalement fait bonne figure et ça aurait fait un single 16,5 tout à fait correct.
Si je devais conseiller une version plus qu’une autre, je pense que ce serait d’abord l’édition regular, puis l’édition theater et enfin l’édition de la team de votre choix (le mien se portant plutôt sur la team N qui fait jeu égal avec l’édition theater pour son côté rock, bien que tout soit une question de goûts; les version B et M proposant également chacune des chansons assez sympas), Le choix de l’edition régular permet notamment de bénéficier du solo de Mirurun (qui est l’une des 4 nouvelles chansons en plus de Masaka Singapore et Namba Ai qui figurent elles sur toutes les versions), de Sayanee, de Riripon et de Momoka. S’ajoute ensuite Tomodachi ou Niji no Tsukurikata et l’affaire est pliée. La version theater ne démérite pas avec des faces B d’une bonne qualité et surtout Ima Naraba, une chanson qui représente un morceau d’âme des NMB.
Celà étant dit, quelque soit votre choix, les faces A présentent sur les 5 versions constituent déjà un bien beau best of ou une bien belle compilation de titre.
Maintenant, cet album, je ne suis pas convaincu qu’il était la pour proposer de la nouveauté mais au contraire fermer un chapitre (Nana-Milky-Sayanee) pour en ouvrir un nouveau emmené au moins pendant un temps par Mirurun. Cette dernière sera épaulée dans sa lourde tache par d’autres dont les visages se préciseront sans doute dans un avenir proche.
La période 2016-mi 2017 a été intense chez les NMB48 avec 3 singles de qualité (et une chorégraphie énorme en prime), mais elle a été également marquée par des évènements majeurs jusqu’au Sousenkyo 2017 (Départ de Milky, de Jonishi kei, de Yabushita Shu, de Fujie Reina, l'affaire du mariage de Riripon, le début de la carrière solo de Sayanee et les aménagements que cela sous entend à la tête du groupe jusqu’au résultats solides du groupe au Sousenkyo…). Ça fait beaucoup en peu de temps. 2017 sera une année pauvre en terme de production avec probablement un seul single, mais il faut le temps pour digérer tout ça, se réorganiser et repartir chaud patate en 2018.